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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 18:49
La musique est en effet le langage des âmes, et les mélodies sont des brises suaves qui font vibrer les cordes du coeur.
Elle est, ces subtils doigts qui frappent à la porte des sens et réveillent la mémoire qui exhume alors des événements forts de son passé que les nuits avaient ensevelis.
- Khalil Gibran
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21 octobre 2019 1 21 /10 /octobre /2019 00:28
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Le Cœur à ses raisons...) -© Tahora Zoher PhotoGraphie - Le Cœur à ses raisons...) -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Le Cœur à ses raisons...) -

En notre siècle où, comme jadis, on tue au nom de Dieu, il importe de ne pas amalgamer les croyants et les imposteurs : les amis de Dieu restent ceux qui Le cherchent, pas ceux qui parlent à Sa place en prétendant L’avoir trouvé.
La confiance du croyant offre une façon d’habiter le mystère.
Comme l’angoisse de l’athée… Le mystère, lui, subsiste.
Nous devons reconnaître et cultiver notre ignorance.
L’humanisme pacifique coûte ce prix-là.
Tous, nous ne sommes frères qu’en ignorance, pas en croyance.
 
- Eric Emmanuel Schmit
(La Nuit de Feu)
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Le Cœur à ses raisons... ) -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Le Cœur à ses raisons... ) -

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20 octobre 2019 7 20 /10 /octobre /2019 23:06
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Des larmes aux Rires de La Vie...Cheminement...Simplement dans le difficile 😌🙏😎 Expérience...Réalisation...Cheminement...Merci! 🙏 -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Des larmes aux Rires de La Vie...Cheminement...Simplement dans le difficile 😌🙏😎 Expérience...Réalisation...Cheminement...Merci! 🙏 -

Mes sentiments sont semblables à la mer dans ses flux et ses reflux.
Mon âme est comme un merle qui, l’aile brisée, se blottit parmi les rameaux et, sitôt qu’il aperçoit les nuées d’oiseaux voltigeants, est saisi de douleur parce qu’il est incapable de les suivre.
Mais comme tous les oiseaux, il se réjouit du silence de la nuit et de la venue de l’aube et du rayon solaire ainsi que de la beauté de la Vie...
 
[...] Les larmes qui purifient mon cœur et me révèlent le secret de La vie et Ses mystères.
Les rires qui me rapprochent de mes semblables; Les larmes grâce auxquelles je rejoins les Rires qui symbolisent la joie par-delà ma véritable Existence.’
 
- Khalil Gibran
(Rires et Larmes : extraits de biographies...)
 
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2 septembre 2019 1 02 /09 /septembre /2019 17:20
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -

Alors que tu bois aujourd’hui le vin amer de l’hiver, n’oublie pas que le printemps s’éveille déjà sur tes lèvres.
Ta douleur est un nuage noir qui ternit l’éclat de ton esprit, mais la pluie de larmes qu’elle déverse fera refleurir l’Arbre de Vie.
Le tumulte qui t’assaille obéit aux mêmes lois qui gouvernent le cours des fleuves jusqu’à l’océan.
Rend-toi, comme la rivière se rend à sa source ; tu t’élèveras encore et encore au-dessus des collines, jusqu’à ce qu’enfin tu redescendes en riant à travers les vallées, sur le chemin du retour.
Je ne suis pas venu pour te consoler mais pour arracher tes racines enfouies dans la noirceur du monde souterrain - afin que tu sortes du cocon de ta tristesse et des brumes de la pensée limitée !
Ce qu’il y a de moins élevé en toi se lamente parce que la Vie ne veut pas se charger de ton fardeau.
Tu souffres, et tu témoignes ainsi de la Réalité de tes plaintes.
Et ton supplice perdure tandis que tu luttes contre ton propre vampire.
Le dos tourné à la lumière, te voilà forcé de pousser comme une plante rabougrie dans l’ombre insignifiante que tu as toi-même projetée.
Je ne m’intéresse pas à l’homme fragile que tu crois être, mais j’applaudis celui qui est libre et sans limite à l’intérieur de toi.
Ton âme est d’une profondeur sans bornes, et ton esprit gambade à travers l’immensité.
Pourquoi me montrer seulement un detestable petit morceau de ton moi Gigantesque ?
Table enfin sur ta profondeur pour t’élever jusqu’à ta vraie Hauteur.
Alors, tu pourras considérer les jours qui te restent comme autant de pierres de gué vers le zénith de ton âme.
Quelle force passionnée te fera redresser dignement la tête au milieu de ta souffrance ?
Quel pouvoir parviendra à te faire chanter, même quand tu appelles au secours, à te faire danser, même quand tu demandes grâce ?
Tu Es un rêveur en devenir.
Quelle vision inspirée te rendra intrépide au milieu du monde.’
 
- Hajjar Gibran
(Le retour du Prophète)
 
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Montrouge / 1 Septembre 2019 / Avant l’automne en marche -

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26 août 2019 1 26 /08 /août /2019 18:35
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Et le reste, on s'en 'fish' mon capitaine ... -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Et le reste, on s'en 'fish' mon capitaine ... -

- Un poisson dit à un autre poisson :
« Au-dessus de notre mer se trouve une autre mer, avec des créatures qui y nagent et elle vivent là-bas tout comme nous vivons ici. »
- Le poisson répondit :
« Pure fantaisie ! Pure fantaisie ! Quand tu sais que tout ce qui quitte notre mer, ne serait-ce que d’un pouce, et reste en dehors d’elle, meurt. Quelle preuve as-tu d’autres vies dans d’autres mers ?
... D’autres vies dans d’autres mers ?
 
- Khalil Gibran
(Le précurseur)
 
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29 juillet 2019 1 29 /07 /juillet /2019 16:31
© Tahora Zoher PhotoGraphie (Au fil du temps, se révèle une clarté qui nous parle en notre Moi profond, Grâce, Quête infinie...)© Tahora Zoher PhotoGraphie (Au fil du temps, se révèle une clarté qui nous parle en notre Moi profond, Grâce, Quête infinie...)

© Tahora Zoher PhotoGraphie (Au fil du temps, se révèle une clarté qui nous parle en notre Moi profond, Grâce, Quête infinie...)

"Il Est en vous, Le Flocon de Neige, qui court vers La Mer ..."

 

« Quand vous rêvez éveillé, si vous vous taisiez pour être à l'écoute de votre Moi le plus intime, vos pensées, comme des flocons de neige, tombent et tourbillonnent, recouvrant d'un blanc silence tous les bruits de l'espace qui vous entoure. »

 

Et que sont ces rêves en éveil, sinon des nuages qui bourgeonnent et fleurissent sur l'arbre du ciel dans vos coeurs ? 

Vos pensées ne sont-elles pas aussi des pétales de fleurs que les vents de votre coeur répandent sur les champs des collines ?

Comme vous attendez la paix jusqu'à ce qu'en vous l'informe prenne forme, ainsi les nuages s'assembleront et dériveront jusqu'à ce que les Doigts Bénis façonnent leurs désirs gris en petits soleils, lunes et étoiles de cristal.

 

"Mais le printemps arrivera, et toutes les neiges de nos rêves et de nos pensées fondront et n'existeront plus"

 

De même, la neige de votre coeur fondra, elle aussi, quand votre printemps sera là, et votre secret se précipitera lui aussi en torrents pour chercher dans la vallée le fleuve de la vie. 

Et le fleuve emportera votre secret jusqu'à la mer immense.
 

"Toutes ces choses se dissoudront et deviendront chansons avec l'arrivée du printemps"

 

Comment peut-il en être autrement ? 

 

Dans les bosquets et les charmilles sur la colline, quand la pluie danse dans les feuillages, quand la neige tombe - c'est une bénédiction et le signe d'une alliance - ; dans la vallée, lorsque vous menez vos troupeaux à la rivière; dans vos champs où les ruisseaux comme des bandes d'argent, strient les étendues verts; dans vos jardins où la rosée du matin reflète le ciel; dans vos prés, quand la brume du soir voile à demi votre chemin: En tous ces lieux, la mer est avec vous; témoin de votre héritage, elle implore votre Amour.

 

"Il est en vous le flocon de neige qui court vers La Mer"

- Khalil Gibran

(Le Jardin du Prophète) 
 

« Vous êtes esprits, bien que vous vous déplaciez dans des corps; et, comme une huile qui brûle dans l'obscurité, vous êtes des flammes, contenues cependant dans des lampes.

Si vous n'étiez que des corps, ma présence auprès de vous et les paroles que je vous adresse seraient vaines, comme la mort interpelant la mort. 

Mais il n'en est pas ainsi. 

 

Tout ce qui est immortel en vous est libre, de jour comme de nuit, et ne peut être enfermé ni enchaîné car telle est la volonté du Très-Haut. 

Vous êtes Sa Respiration, tout comme le vent que nul ne pourra jamais saisir ni mettre en cage. 

Et moi aussi, je suis le souffle de Sa Respiration. »

 

 - Khalil Gibran

(Le Jardin du Prophète)

© Tahora Zoher PhotoGraphie (Au fil du temps, se révèle une clarté qui nous parle en notre Moi profond, Grâce, Quête infinie...)© Tahora Zoher PhotoGraphie (Au fil du temps, se révèle une clarté qui nous parle en notre Moi profond, Grâce, Quête infinie...)

© Tahora Zoher PhotoGraphie (Au fil du temps, se révèle une clarté qui nous parle en notre Moi profond, Grâce, Quête infinie...)

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28 juillet 2019 7 28 /07 /juillet /2019 00:06
T.z

T.z

J‘ai été depuis l’Alpha de la création, je vivrai jusqu’à l’Oméga de l’Eternité.
Et mon existence ne sera jamais achevée...
J’ai vogué dans l’univers de l’infini et volé dans les éthers de l’imaginaire.
Et me voilà près du cercle de la suprême lumière, me voici dans la geôle de la matière.
J’ai écouté les enseignements de Confucius et la sagesse de Brahma. Et avec Bouddha j’ai partagé l’ombre de l’arbre-Savoir.
Et à présent j’affronte l’ignorance et l’apostasie.
J’ai gravi le Mont-Sinaï où surgit jadis Jéhovah devant les yeux de Moïse.
Je me suis purifié le corps dans le Jourdain et j’ai vécu les miracles du Nazaréen.
Et à la Médine j’ai écouté ce Messager réitérer le Verbe en arabe.
Et maintenant je suis indécis.
J’ai connu la force de Babel, la gloire de l’Egypte et la magnificence des Grecs.
Et je ne cesse de voir la faiblesse et la bassesse, toujours là dans toutes ces oeuvres.
J’ai même habité la magie de l’oeil d’un oisillon.
Par ailleurs j’ai été l’hôte des ermites assyriens, et j’ai suivi les prophètes en terre de Palestine.
Et je suis toujours en quête de la Vérité.
J’ai appris la sagesse révélée en Inde et la poésie exhalée en Arabie.
Et j’ai saisi les mélodies qui ont pris corps dans les coeurs du pays où le soleil se meurt.
Et je me vois encore aveugle et je suis toujours sourd à mes lèvres muettes.
J’ai enduré la férocité et la cupidité des conquérants et j’ai souffert sous le joug des tyrans.
Et je demeure une force qui lutte à chaque battement de minute.
J’ai vu et entendu tout cela, étant encore enfant, et je continuerai à ouvrir l’oeil et à prêter l’oreille à tous les actes en herbe de ma jeunesse.
Dès lors que ma tête devient chenue, j’effleurerai alors les pans de la plénitude et je regagnerai la demeure de Dieu.
Si vous êtes morts, Il vous rendra la vie.
Et si vous l’êtes à nouveau, Il saura vous relever jusqu ’à l’heure de votre retour en Lui.
j’ai été depuis l’Alpha de la création, je vivrai jusqu’à l’Oméga de l’Eternité.
Et mon existence ne sera jamais achevée...’
 
- Khalil Gibran (La Quête du Retour - LE PORTEUR DE LUMIERE)
*A.M PhotoGraphie.
*Ce poème est extrait de textes inédits de l’anthologie de textes de Gibran : L’Oeil du Prophète, paru chez Albin Michel, col. Spiritualités Vivantes Poche.
 
 
[...] Fatigué d’avoir poursuivi les Hommes à travers les âges et lassé d’avoir regardé la marche des peuples et des nations, je me suis assis, seul, dans la vallée des fantômes, là où se cachent les ombres du passé et où se tiennent aux aguets les esprits du futur.
J’y ai vu un fantôme, tout frêle, solitaire, qui fixait le soleil. Je lui demandai :
- Qui es-tu ?
- Je suis la Liberté.
- Mais où sont donc tes fils ?
- Un est mort sur La Croix, l’autre est mort fou et le troisième n’est pas encore né.
Puis il se déroba à mes regards derrière la brume.’
 
- Khalil Gibran (Les Tempêtes)
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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 23:24
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Algérie / Adrar 🇩🇿 / Vie / Villages / 2019 / Merci ! à vous tous / Grâce / inspiration by Printemps 2019 / enjoy Life -© Tahora Zoher PhotoGraphie - Algérie / Adrar 🇩🇿 / Vie / Villages / 2019 / Merci ! à vous tous / Grâce / inspiration by Printemps 2019 / enjoy Life -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Algérie / Adrar 🇩🇿 / Vie / Villages / 2019 / Merci ! à vous tous / Grâce / inspiration by Printemps 2019 / enjoy Life -

Vie, qui « raisonne et résonne » par intervalles mélodiques, agréablement justes !
La musique est à l’âme ce que l’été est à la fleur.
Pétales fragiles du langage universel où une floraison traduit une énigme d’une opulence sonore incroyable.
Fleurs ou instants, en un vide s’égrènent.
Chapelets de corrélations.
Abandon à la matière musicale vibratoire.
Souffle.
Intemporalité.
La musique, les portées, trames de l’univers...
(...) Ce qui Est nous transcende d’une intègre mesure et nous ponctue d’un libre respire, d’un extraordinaire rendez-vous
avec une incontournable volonté.
Éloigné de toute inertie, ce lieu s’appréhende avec des modulations.
Dans le viatique de leurs maturités, les vagues encrées me portent à tout désapprendre pour aller vers l’art d’écouter mon être grandir, par-delà le phare de la mort.
Pour celui qui croît – du verbe croître –, difficiles seront sa quête et ses efforts pour dissoudre les ténèbres en lui-même, voie de l’axis mundi où le chaos devient cosmos parce que consacré.
 
"Crois et tu comprendras, la foi précède, l’intelligence suit », dit : Saint Augustin d’Hippone, théologien, évêque, philosophe et écrivain chrétien d’origine berbère, né à Thagaste, Souk Ahras, et décédé à Hippone, Annaba, Algérie (354-430)"
 
'(...) Terre et ciel sont des matières réverbérantes qui s’aimantent.
Le subtil et le concret au diapason, s’unissent ; crescendo, ils s’éveillent à une conscience universelle.
Sera accueilli au Parnasse l’esprit purifié, la parole révélée, reconnaissable à sa dispersion qui converge vers l’unicité.
L’art hermétique dévoile ses arcanes.
De la diversité à l’unicité, des milliards de pléiades tourbillonnent, elles tombent de nulle part et sont ensemencées par d’artistiques cursives.
Le mot est vivant.
Plénitude de l’être, lettres conduisant à la pointe de l’âme.
Abrupt vide et saut quantique de l’esprit...
 
- Sophia Sherine Hutt
(Extraits de : La musique du ciel en héritage. Pages. 75 - 76. Editions Edilivre)
 
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Algérie / Adrar 🇩🇿 / Vie / Villages / 2019 / Merci ! à vous tous / Grâce / inspiration by Printemps 2019 / enjoy Life -

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3 février 2019 7 03 /02 /février /2019 14:34
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Hajjar Gibran (Le retour du Prophète)
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Hajjar Gibran (Le retour du Prophète)
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Hajjar Gibran (Le retour du Prophète)
© Tahora Zoher PhotoGraphie - Hajjar Gibran (Le retour du Prophète)

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Hajjar Gibran (Le retour du Prophète)

Des années durant, j’ai senti vibrer en moi un appel - mais je doutais toujours de cette vérité que j’allais découvrir, et dans mon doute je soufrais. 

J’étais un homme blessé, un homme qui rêvait d’amour, mais qui n’était pas prêt à devenir celui qu’il voulait être. 

À présent, ce rêve a grandit jusqu’à façonner le cœur de ma vie et ébranler les fondements mêmes de mon identité.’

- Hajjar Gibran (Le retour du Prophète. P 23. Introduction) 

 

« De même que le noyau doit se fendre afin que le cœur du fruit se présente au soleil, ainsi devrez-vous connaître la douleur. 

Si vous saviez garder votre cœur émerveillé devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne vous paraîtrait pas moins merveilleuse que votre joie. 

Vous accepteriez les saisons de votre cœur, comme vous avez toujours accepté les saisons qui passent sur vos champs… 

Et vous veilleriez avec sérénité durant les hivers de vos chagrins. »

 

- Khalil Gibran

(1883 - 1931 / Le Prophète) 

 

© Tahora Zoher PhotoGraphie - Extrait et partage pour ceux qui savent discerner les ondes des mots lumineux / Un livre une continuité mystérieuse éclairant mon cheminement...

 

Merci 🙏 Hajjar Gibran ! Merci Khalil Gibran, que la paix et la Lumière du très Mystérieux t’inspire pour l’éternité de là, de cette dimension où tu reposes dans Sa Lumière - 
*Photo et citation de khalil Gibran source internet.

Merci, être de l'esprit, âme Khalil Gibran, que la paix et la Lumière du très Mystérieux...
Merci, être de l'esprit, âme Khalil Gibran, que la paix et la Lumière du très Mystérieux...Merci, être de l'esprit, âme Khalil Gibran, que la paix et la Lumière du très Mystérieux...

Merci, être de l'esprit, âme Khalil Gibran, que la paix et la Lumière du très Mystérieux...

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 12:10
© Tahora Zoher PhotoGraphie - En résumé...Soyez nul part sans Lui, sur le cheminement de votre connaissance, de vos âmes... / T.z / R & J / Nikon D850 / 105mm Macro! -

© Tahora Zoher PhotoGraphie - En résumé...Soyez nul part sans Lui, sur le cheminement de votre connaissance, de vos âmes... / T.z / R & J / Nikon D850 / 105mm Macro! -

Alors Almitra parla de nouveau et dit, et le mariage, Maître ?
 
Et il répondit en disant :
 
Vous êtes nés ensemble et ensemble vous
resterez pour toujours.
 
Vous resterez ensemble quand les blanches
ailes de la mort disperseront vos jours...
 
Oui, vous serez ensemble jusque dans la silencieuse mémoire de Dieu.
Mais qu'il y ait des espaces dans votre communion, et que les vents du ciel, dansent entre vous...
 
Aimez-vous l'un l'autre, mais ne faites pas de l'amour une entrave : Qu'il soit plutôt une mer mouvante entre les rivages de vos âmes...
 
Emplissez chacun la coupe de l'autre mais ne buvez pas dans la même coupe.
Partagez votre pain mais ne mangez pas de la même miche...
 
Chantez et dansez ensemble et soyez joyeux,
mais demeurez chacun seul, de même que les cordes d'un luth sont seules cependant même qu'elles vibrent de la même harmonie...
 
Donnez vos coeurs, mais non pas à la garde l'un de l'autre.
Car seule la main de La Vie peut contenir vos coeurs...
 
Et tenez-vous ensemble, mais pas trop proches non plus:
Car les pilliers du temple s'érigent à distance, et le chène et le cyprès ne croissent pas
dans l'ombre l'un de l'autre...
 
- Khalil Gibran
(Passage du Prophète / Le Mariage)
 
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Présentation

  • : Ma quête du soi et du non Moi...
  • : Un lieu de vie vers la lumière de soi et du non Moi, un passage où je partage mes textes, mes citations au fil de mes lectures, de mes balades, mes photos et photos de la toile. Un voyage de l'esprit sur la toile, à travers les êtres, les âmes, et le mystère au fil des jours, de tout ce qui m'inspire, me guide, me touche, m’éveille dans ces chemins de l'existence, en cette vie, dans cet Univers Extraordinaire, que nous partageons tous sous un même toit, Le Ciel...
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'Quand le rideau se lévera, tu verras que nous ne savions rien, ni toi, ni moi.'

- Omar Khayyam -

Par Mot Clef...

Seigneur ! Il suffit à ma fierté que Vous soyez mon 'Dieu' et à ma gloire que je vous sois soumis.

Vous êtes tel que je le veux : Faites de moi celui que vous voulez...

-Ali Ibn Abû Taleb-